le 7 novembre 2020
Publié le 26 octobre 2020
Dans ce monde troublant où distances sociales et sans contact en tout genre s’immiscent
dans nos quotidiens, je vous propose une balade le long de la peau, cette peau qui nous
touche à la lisière de nos géographies intérieures et extérieures.
Contacter la peau invite au franchissement des frontières, au jeu entre le dedans et le
dehors, entre soi et les autres, le visible et l’invisible. Être bouger par la peau relève de l’art
de l’interstice.